mercredi 8 juin 2011

Vers Livourne, le temps s’améliore.

.
Dimanche 5 juin, nous quittons Turin, qui nous a bien plu, avec ses rues perpendiculaires, ses sens interdits, ses travaux, mais surtout la beauté de ses artères, ces immeubles à arcades avec des étages de hauteur insoupçonnée sous nos latitudes, leur variété, leur cohérence et leur complémentarité. Notre déception : le temps, la pluie… 

Nous descendons vers le sud et au moment où commence la succession des tunnels et des ponts qui rythment notre autoroute, la pluie cesse, la température monte (de 15 à 30°C). Alors nous sommes plus gais pour traverser Gènes, malgré la cohue des immeubles qui percutent l’autoroute urbain, pour saluer La Spezzia et Lerici en pensant à notre ami Abramo, enfin pour passer près de Lucca et de Pise avant de trouver notre hôtel à Livourne. Il s’appelle Max Hotel Livorno, sans doute un clin d’œil à Max Jacob, si cher à notre cœur.

Près de Lucca nous nous souvenons de notre ancêtre Théodosio Viviani, né en 1831 à Pescalia au nord d’ici… C’est avec sa descendance que nous nous réunirons dans la montagne corse dimanche prochain…

Cet après-midi Livourne nous a déçus. Ville endormie ce dimanche, sauf la Viale Italia où tous les libournais semblent s’être réunis. D'un côté, de très belles résidences, de l'autre la plage surpeuplée et de part et d'autre de la chaussée, beaucoup plus de vespas que de voitures.


Retour chez Max, confortable et récent 4*, bien sous tous rapports sauf l'espace où il s'insère : une zone commerciale autour d'un Décathlon et pas mal d'autres commerces. Nous sommes à quatre kilomètres du port où nous prendrons le ferry demain à 8:15.


Soirée dans le restaurant de l'hôtel. Beaucoup de clients, une seule serveuse et sans doute un seul cuisinier, ce fut bon mais aussi languissant…
.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire