samedi 17 octobre 2015

La Creuse en balade…

Voir le site www.tourisme-creuse.com, édité par l'Agence de Développement et de Réservation Touristiques de la Creuse.

Aux vacances de Toussaint : 
Sur les pas de Martin Nadaud
  • La Martinèche - 23250 SOUBREBOST - 05 55 64 25 15 - Site de la Maison Martin Nadaud à la Martinèche (fermée le 20 octobre)  à côté, voir Bourganeuf (visite de la ville le mercredi 11:00) : tour Zizim, musée de l'électrification, musée de la mine…

  • À Crozant : Hôtel Lépinat : Guillaumin et les Peintres de la Vallée de la Creuse. 5, rue Armand GUILLAUMIN - 23160 CROZANT - Tél. 05 55 63 01 90. Voir le site.
  • à coté : Espace Monet-Rollinat à Fresselines et Espace patrimoine Clepsydre à Parchimbaud - 23160 SAINT SEBASTIEN - Tél. : 06 32 76 83 09

jeudi 24 avril 2014

Mardi, croisière sur la Brenda

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Mardi après un trop bref petit déjeuner complet à 19,50 € sur à une terrasse du riva degli schlivoni, nous embarquons sur Il Burchello.


Traversée de la lagune vers le sud ouest nous longeons d'abord la Guidecca, puis nous naviguons sur la brenta avec dans un premier temps un décor de chantier naval, les bateaux se raréfient bientôt, le décor devient champêtre (genre bassin sédimentaire plat et arboré) constructions souvent modeste puis, à alors que nous arrivons à 

Réanimation de ce blog…

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Bon c'est décidé je ranime ce vieux blog, en sommeil depuis bientôt deux ans… Un voyage à Venise sans traces écrites c'est impensable, alors je m'y colle.

Nous partons à quatre, É. & N. se joignent à nous. La location d'un trois pièces à l'est de la la place Saint Marc nous avait occupé près d'une semaine à l'automne dernier. Les unes, dimanche utilisèrent le train pour rejoindre la Serénissime, quant à nous l'avion nous appâta nous n'avions pas fait attention à l'heure du décollage (7:10) qui nous conduit à un réveil à 3 H 30, heure peu propice à une humeur béante chez le paisible retraité. Sur le coup des onze heures les deux équipe, valises en mains s'attaquèrent aux trois hauts étages de la maison où est sis l'appartement de Michela qui nous avait interceptés au sortir de nos vaporetti respectifs à la station San Zaccharia.

Notre logis sobrement appelé "Au cœur de Venise centre historique" se révèle très bien décoré et selon É. plus spacieux que sur les photos, nous emménageons…

Premiers pas dans le triangle S Zanipolo, San Marco, Rialto qui n'est pas trop surpeuplé, lundi de Pâques oblige. Premières pizzes, premières pluies (et mêmes des hallebardes) qui nous contraindront le soir à prendre notre thé sous le store accueillant d'un glacier. Nuit restauratrice…
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vendredi 1 juin 2012

Les latinistes émérites à Chartres

Mercredi 30 mai 2012, sur le coup des huit heures trente, les latinistes émérites et leurs amis, confortablement installés dans un car Dunois mené de main de maître par Guy, prirent la route Chartres.

Le magister André Lingois, une fois notre car sorti de l'agglomération de Cenabum, prit la parole pour nous rappeler les grandes étapes de cette journée puis il discourut savamment sur les Carnutes qui peuplaient l'actuelle capitale de l'Eure-et-Loir au temps de Jules César. Malgré les bruits du car qui gênent un peu l'écoute, vous pouvez retrouver :

10:15, arrivés à bon port, les visiteurs, d'un pas décidé, prennent la direction de  l'office du tourisme chartrain où nous devons rejoindre notre  guide. Après avoir contourné la Cathédrale, nous parvenons à la place de la Poissonnerie où est sise la maison du Saumon. D'emblée, notre oeil sagace nous permet de repérer un salmonidé sculpté qui justifie le nom de ce superbe édifice, connu aussi sous le nom de maison du Saumon et de la Truie-qui-file : notre guide nous en donne le pourquoi ci-dessous (avec un son très inégal) :



Ensuite nous ferons une aimable promenade autour de la cathédrale et dans la zone médiévale.


puis à partir du Musée des Beaux-arts nous descendrons de tertre en tertre par l'escalier, rejoignant l'Eure  toujours un œil sur la cathédrale. Nous faisons un arrêt devant l'église Saint-André, admirons  son porche, avant d'arriver au pont -croupion sur l'Eure que nous longerons. L'exubérante végétation nous met en joie. Avant de remonter la pente, nous nous planterons devant la noble façade de la maison des vieux Consuls, admirons l'escalier de la reine Berthe avant de retrouver la belle cathédrale, chère à Péguy non loin de laquelle se trouve le restaurant de l'Amphitryon où nos couverts nous attendent.

Au moment de prendre l'apéritif, André Lingois Lingois prend la parole : pour porter un toast, non ! pour faire son traditionnel discours de Magister, toujours... magistralement travaille et dix minutes plus tard, nous portons avec lui le toast traditionnel et festif qui nous ouvre l'appétit.  

mercredi 30 mai 2012

La bande des six à Lailloux

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Nos amis Jean-Claude et Françoise, Marie-Antoinette et Mauricette sont venus nous rejoindre pour quelques jours dans notre hâvre limousin.


Quelques notes sur nos visites :

  • à leur arrivée le 17 mai, nous faisons une balade dans les monts d'Ambazac. Pour commencer Grandmont et les traces de l'ordre monastique dissous avant la Révolution, puis nous suivons notre parcours traditionnel de découverte déjà décrit sur ce blog, avec en supplément la visite du cimetière de La Jonchère dans lequel se trouve un grand mausolée (celui de l'ingénieur Mignon ? ) et des tombes que je croyais mérovingiennes et seraient des tombes-tabatières du XIIIe siècle, il va falloir explorer le sujet (voir cette page d'un blog sur Saint Sulpice Laurière).
  • le lendemain nous allons à Limoges voir le Musée de Beaux-Arts dont la rénovation récente nous charme, l'étage des émaux est superbe… puis la visite de la cathédrale nous intéresse tous vivement. Repas dans un restaurant irlandais et courte visite à la gare des Bénédictins, la plus belle de France pour certains (pas pour Dali).
  • dernier jour pour nos amis en Limousin : nous nous rendons d'abord au Musée Rebeyroles à Eymoutiers, puis nous déjeunons au Moulin de l'enfant comme d'habitude. Retour par St Léonard de Noblat.
Ces quelques jours en commun furent très riches culturellement et plein d'échanges amicaux…
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lundi 2 avril 2012

29/3 : Leopold museum - Retour à Orléans

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Je vais seul ce matin au musée Leopold, situé dans le MuseumsQuartier. Il regroupe la plus importante des collections des œuvres d'Egon Schiele, ainsi que celles de Gustav Klimt (dont une exposition spéciale à l'occasion de l'année…) et donne à voir d'autres peintres comme Oscar Kokoschka, Koloman Moser, Richard Gersti, etc.


Il est interdit de photographier au musée Léopold. Pour que vous puissiez néanmoins parcourir les œuvres principales, je vous propose de suivre les liens suivants :
[Pour comprendre comment fonctionnent les pages obtenues grâce aux deux liens ci-dessus : déplacer le curseur de la souris sur les petites images, ensuite cliquer sur ces imagettes pour obtenir des images plus grandes]


Derniers desserts…

Dans l'après-midi, retour sans histoire à Orléans, via Roissy Charles de Gaulle.
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dimanche 1 avril 2012

28/3 - L’École d’équitation espagnole - Neue Burg (Musees Éphèse et des instruments anciens) - Chute - Belvédère - Café Central

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Départ peu fringant. Nous sommes à l’avant dernier jour de notre périple et nos pas ont perdu de leur élasticité. Face aux appartements de Sissi, dans la Hofburg, nous allons visiter l’École d’équitation espagnole
C’est un centre équestre qui dresse des étalons lipizzans (de Lipizza, près de Trieste) dont les évolutions se déroulent dans le manège d'hiver (Winterreitschule). 
Cet établissement est l’une des principales attractions touristiques de la capitale autrichienne, la queue des futurs spectateurs qui s’allonge en est la preuve. Un quart d’heure plus tard, nous pénétrons dans le manège : sept chevaux exécutent différentes figures isolément. Nous essayons de trouver une place, sans succès. Nous montons au premier étage. Enfin (mal) assis nous suivons les évolutions des couples centaures avec un certain intérêt mais nous nous lassons assez rapidement par manque de visibilité ; de plus les photos étant interdites, je suis rabroué par un cerbère, assez peu terrorisant, il faut le reconnaître.


Pour plus de précisions, je vous renvoie à l’article de Wikipédia qui me semble très instructif (instruction que j’aurai beaucoup de mal à mémoriser) et à une vidéo tournée avec mon iPhone :




Une présentation de l’École d’équitation espagnole (au format pdf, imprimable).

Nous continuons par la Neue Burg situé trois cents mètres plus loin. Ce nouveau palais a été achevé en 1914. Cinq ans plus tard, la dynastie des Halsbourg quittait le pouvoir. 

C’est de son balcon (aujourd’hui en rénovation) qu’Hitler prononça l’Anschluss de l’Autriche. Le lendemain il fut acclamé par 250 000 autrichiens…
Dans le Neue Burg, nous visitons trois musées imbriqués les uns dans les autres : 
  • Le musée d’Ephèse, nous permet d’admirer le « monument aux Parthes », relief le plus important de l’époque romaine en Asie mineure, et l’athlète d’Éphèse (copie romaine en bronze).







Dans l'après-midi nous nous rendrons au Belvédère, peu éloigné de notre hôtel. C’est le prince Eugène de Savoie (1663 - 1736), brillant général et grand amateur d’art, qui commanda à Johann Lukas von Hildebrandt le palais-jardin du Belvédère pour en faire sa résidence d’été, aux portes de la ville.



Il est composé de deux châteaux (le Belvédère inférieur et le Belvédère supérieur). Ce sont deux véritables réussites en matière d’architecture baroque.

Entre les deux châteaux s’étend un impressionnant jardin d’apparat en pente qui malheureusement est encore à l’état hivernal : seuls les bourgeons habillent les arbres, les fleurs sont rares, les bassins et les cascades ne sont pas alimentés en eau.



Nous nous contenterons de visiter le Belvédère supérieur qui présente une splendide façade ornée de multiples sculptures et décorations. À l'intérieur de l'édifice, se trouve une grande galerie de peintures autrichiennes des XIXe et XXe siècles.


Année Klimt oblige, une exposition est organisée sur le chef de file de la Sécession de Vienne avec, entre autres, deux fameux tableaux (appartenant au Belvédère) : Le Baiser (1907-08), huile sur toile recouverte de feuilles d'or, son plus célèbre tableau et Judith et Holopherne (1901), huile sur toile.





Notre dernier soir à Vienne, nous ramène au Café central, bel espace, élégant où nous avons nos habitudes (depuis hier). Il est situé dans le palais Ferstel. Ce soir nous y dînons, au son du piano-bar : foie de veau, purée, oignons (Geröstete Kalbsleber mit erdäpfelpüree, äpfeln und röstzwiebel) pour Marie-Hélène et escalope viennoise (Wiener Schnitzel) pour moi, ce fut extra… et complété par des pâtisseries, glace à la vanille pour MH et du chocolat (Mohr im hemd mit schlagobers) pour moi (miam-miam !). 

Demain soir nous serons à Paris…
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