vendredi 1 juin 2012

Les latinistes émérites à Chartres

Mercredi 30 mai 2012, sur le coup des huit heures trente, les latinistes émérites et leurs amis, confortablement installés dans un car Dunois mené de main de maître par Guy, prirent la route Chartres.

Le magister André Lingois, une fois notre car sorti de l'agglomération de Cenabum, prit la parole pour nous rappeler les grandes étapes de cette journée puis il discourut savamment sur les Carnutes qui peuplaient l'actuelle capitale de l'Eure-et-Loir au temps de Jules César. Malgré les bruits du car qui gênent un peu l'écoute, vous pouvez retrouver :

10:15, arrivés à bon port, les visiteurs, d'un pas décidé, prennent la direction de  l'office du tourisme chartrain où nous devons rejoindre notre  guide. Après avoir contourné la Cathédrale, nous parvenons à la place de la Poissonnerie où est sise la maison du Saumon. D'emblée, notre oeil sagace nous permet de repérer un salmonidé sculpté qui justifie le nom de ce superbe édifice, connu aussi sous le nom de maison du Saumon et de la Truie-qui-file : notre guide nous en donne le pourquoi ci-dessous (avec un son très inégal) :



Ensuite nous ferons une aimable promenade autour de la cathédrale et dans la zone médiévale.


puis à partir du Musée des Beaux-arts nous descendrons de tertre en tertre par l'escalier, rejoignant l'Eure  toujours un œil sur la cathédrale. Nous faisons un arrêt devant l'église Saint-André, admirons  son porche, avant d'arriver au pont -croupion sur l'Eure que nous longerons. L'exubérante végétation nous met en joie. Avant de remonter la pente, nous nous planterons devant la noble façade de la maison des vieux Consuls, admirons l'escalier de la reine Berthe avant de retrouver la belle cathédrale, chère à Péguy non loin de laquelle se trouve le restaurant de l'Amphitryon où nos couverts nous attendent.

Au moment de prendre l'apéritif, André Lingois Lingois prend la parole : pour porter un toast, non ! pour faire son traditionnel discours de Magister, toujours... magistralement travaille et dix minutes plus tard, nous portons avec lui le toast traditionnel et festif qui nous ouvre l'appétit.